Dimanche soir, je lisais le dernier numéro d'
Urbania. Ma mère m'appelle, on discute un peu et elle me demande ce que je fais. Je lui dis. Elle semble alors bien intéressé par le type de revue que je suis entrain de lire. Elle veut maintenant savoir si
Urbania peut nourrir sa soif de découvertes artistiques et esthétiques urbaines. Je lui répond qu'il s'agit plutôt d'un mode de vie et de pensées urbaines qu'on souhaite raconter qu'un style artistique que l'on veut exposer.
Ironiquement à ce moment, je venais tout juste de terminer de lire l'entretient avec une des personnes, à mon avis, les plus vulgaires de cette planète,
Jesus Martinez, auteur de blogue sur le star système hollywoodien. Je vous épargne le contenu parce que je ne souhaite nullement faire la promotion de cet individu. J'ai donc lu l'article en entier ne me laissant pas choquer par des imbéciles du genre, mais je crois qu'on pourrait très bien se passer de ce type d'entrevue.
Loin est mon but de nuire à
Urbania dans ces écrits, j'adore cette revue qui emploie des thèmes précis et inspirants à chacun de leur numéro. (Ce mois-ci:
Célébrité) L'entrevue avec
Jesus Martinez répondait donc très bien au thème du mois.
J'ai simplement trouvé cocasse ce moment d'échange avec ma mère. Si elle m'avait plutôt appelé 30 minutes avant, j'aurais pu avoir une toute autre réaction. J'ai toutefois senti le besoin de ne pas conseiller cette revue à ma mère, du moins pas ce numéro.