27 janvier 2008

Une autre raison pour danser

Petite visite à l'Igloofest, hier soir. C'était mieux que ce à quoi je m'attendais. (À bien y penser, je ne m'attendais à rien.) Bonne ambiance, bonne musique; je me suis éclatée le temps que j'y suis restée.

Pas eu le choix de danser pour rester au chaud et en plus, la brise hivernale m'a donné tout plein d'énergie.

J'adore l'hiver quand je sors de chez nous.

25 janvier 2008

Rupture

Quand ton restaurant szechuanais favori qui se trouve au coin de ta rue change de propriétaire, tes petites habitudes de vie sont un peu chamboulées.

Quand ton biscuit de fortune te dit à la fin de ton repas: « Votre bonheur est lié à votre regard sur la vie », tu te dis que finalement c'est pas si pire que ça. Tes habitudes changeront et que c'est pour le mieux.

N'empêche que je vais m'ennuyer des heureux propriétaires qui savaient me faire sourire et me gaver jusqu'à ce que je roule à mon divan.

Bon week-end!

7 janvier 2008

Drôle d'échange

Dimanche soir, je lisais le dernier numéro d'Urbania. Ma mère m'appelle, on discute un peu et elle me demande ce que je fais. Je lui dis. Elle semble alors bien intéressé par le type de revue que je suis entrain de lire. Elle veut maintenant savoir si Urbania peut nourrir sa soif de découvertes artistiques et esthétiques urbaines. Je lui répond qu'il s'agit plutôt d'un mode de vie et de pensées urbaines qu'on souhaite raconter qu'un style artistique que l'on veut exposer.

Ironiquement à ce moment, je venais tout juste de terminer de lire l'entretient avec une des personnes, à mon avis, les plus vulgaires de cette planète, Jesus Martinez, auteur de blogue sur le star système hollywoodien. Je vous épargne le contenu parce que je ne souhaite nullement faire la promotion de cet individu. J'ai donc lu l'article en entier ne me laissant pas choquer par des imbéciles du genre, mais je crois qu'on pourrait très bien se passer de ce type d'entrevue.

Loin est mon but de nuire à Urbania dans ces écrits, j'adore cette revue qui emploie des thèmes précis et inspirants à chacun de leur numéro. (Ce mois-ci: Célébrité) L'entrevue avec Jesus Martinez répondait donc très bien au thème du mois.

J'ai simplement trouvé cocasse ce moment d'échange avec ma mère. Si elle m'avait plutôt appelé 30 minutes avant, j'aurais pu avoir une toute autre réaction. J'ai toutefois senti le besoin de ne pas conseiller cette revue à ma mère, du moins pas ce numéro.